Les morts vivants peuplent désormais tous le continent américain. Grâce à un homme d'affaires, les survivants continuent à vivre, réfugiés dans un quartier d'une mégalopole. Mais les Zombies ont évolués, ils ne sont plus ces êtres qui errent dans les rues à la recherche d'une chaire fraîche à dévorer. Ils deviennent bien pires, ils retrouvent leur humanité !!
Land of the Dead était tellement attendu par les fans de George Andrew Romero qu'il a finalement un peu déçu. Certes il y a bien de l'action, des scènes gores et des supers héros qui satisferons le public le plus jeune mais pour les fans, l'auteur de Zombie: dawn of the Dead semble avoir bâclé la critique sociale que nous attendions. Le problème avec Romero est quand les producteurs lui donnent des tunes il essai de faire du spectacle en perdant toute sa dimension dialectique. Il n'y a pas de doute, il s'est fait plaisir. On peut même affirmer qu'il a réalisé ici, ce qu'il n'a pas pu faire à l'époque avec Day of the dead. Le réa' nous décrit quatre mondes qui s'opposent l'un est l'autre. Il y a d'abord les Zombies qui marchent à l'extérieur de la ville, puis il y a les vivants, eux même divisés en deux groupes: le peuple qui survit dans les bas fond et les nantis protégés dans leur forteresse de verre. L'équilibre est soudain chamboulé quand les différentes frontières s'écroulent. L'ennemi est-il toujours le plus évident ?
Société de production : Atmosphere Entertainment MM, Exception Wild Bunch et bien sur Romero-Grunwald Productions
Nombre Approximatif de Zombies tué à l'écran : +200
Nombre de survivants à la fin du film : 6
Répliques cultes : : "Trouble ?, In a world where the dead are returning to life, the word "trouble" loses much of its meaning. "
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