Titre en français : Le retour des morts vivants 3
Réalisateur : Brian Yuzna
Musique originale : Barry Goldberg
Scénario : John Penney
Date de sortie en salle : 1993 (France 1994)
Origine : USA
Un couple désœuvré est à la recherche de sensations fortes. Cela tombe bien le père de Curt fait des recherches scientifiques dans une base militaire. Apparemment il aurait trouvé le moyen de ramener à la vie des morts à l'aide d'un gaz, la Trioxin. Alors quand la petite amie Julie est tuée dans un accident de moto, le jeune homme n'a qu'une seule idée en tête ...
Exit les gags et l'humour burlesque du premier volet, ici le thème du film a été traité avec sérieux. Et je dois dire que cette série B est plutôt bien réussie. Elle parvient a maintenir un rythme qui permet au spectateur de ne pas décrocher. Le script, les décors et les maquillages sont parfaitement crédibles pour une production de ce style. La musique quoique un peu discrète ne tache pas l'ensemble.
Les souffrances physiques et affectives sont les principaux axes du film. Le couple va enfin connaître une certaine liberté mais de courte durée. Le chagrin de Curt va l'amener à faire un geste égoïste en ramenant Julie à la "vie". Très vite celle-ci va lui en vouloir, car si vivante elle cherchait bêtement la souffrance, dans la mort cela devient insupportable. Aussi, peu à peu malgré l'amour qu'elle porte à Curt elle va céder à la violence. Son petit ami va l'abandonner au dernier moment et la laisser devenir le spécimen 32, avant d'être réunie de nouveau dans la mort. Une véritable histoire romantique. D'ailleurs le réalisateur voulait appeler son métrage Kurt and Julie. Le personnage de Julie par sa souffrance intérieure extériorisé par l'automutilation et sa plastic sexy va devenir une icône goth du cinéma d'horreur des 90.
Les souffrances physiques et affectives sont les principaux axes du film. Le couple va enfin connaître une certaine liberté mais de courte durée. Le chagrin de Curt va l'amener à faire un geste égoïste en ramenant Julie à la "vie". Très vite celle-ci va lui en vouloir, car si vivante elle cherchait bêtement la souffrance, dans la mort cela devient insupportable. Aussi, peu à peu malgré l'amour qu'elle porte à Curt elle va céder à la violence. Son petit ami va l'abandonner au dernier moment et la laisser devenir le spécimen 32, avant d'être réunie de nouveau dans la mort. Une véritable histoire romantique. D'ailleurs le réalisateur voulait appeler son métrage Kurt and Julie. Le personnage de Julie par sa souffrance intérieure extériorisé par l'automutilation et sa plastic sexy va devenir une icône goth du cinéma d'horreur des 90.
Société de production : Trimark Pictures, Brian Yuzna et John Penney (indépendant).
Nombre Approximatif de Zombies tué à l'écran : 6/7
Nombre de survivants à la fin du film : 0
Répliques cultes : "I'm not alive ... and not dead ... I'm just ... I'm just so only.."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Laissez vos impressions sur le film